Les interventions brèves
1999-…
À l’instar des jeux de construction, j’élabore des structures modulaires et déployables, démontables et pouvant être recomposées sous différentes formes et à différents endroits. Ces structures éphémères et délibérément temporaires s’approprient un espace précis pour un moment donné. La documentation photographique de l’intervention brève témoigne du geste éphémère. Agissant comme des décorations de fête, les interventions brèves sont des instants de magie qu’on peut déployer puis ranger dans la boîte après usage. Ainsi, je pose une réflexion sur l’idée de pérennité et du besoin de laisser sa trace.
Cette page présente plusieurs projets d’interventions brèves depuis 1999.
Pigeons/Vancouver Pigeon Park
2010. Vancouver. Voir la Page détaillée du projet
Papier journal récupéré.
Ramasser les feuilles
2006. Québec. Voir la Page détaillée du projet
Nymphéas
2006. Québec. Voir la Page détaillée du projet
Solitudes
2006. Québec
Photographier les ombres portées de chaises de patios.
Projet Tori
2006. Paris. Voir la Page détaillée du projet
150 feuilles de magazine papier glacé, 21 X 25 cm pliées, colle.
Chapeaux de fête
2004 Rimouski et 2006 Paris.
Sculptures à partager pour festoyer. Papiers publicitaires et affiches trouvées du film Pierrot le Fou.
Cheval-étoile
2005. Québec
Jouet trouvé. La structure métallique du jouet est démontée puis assemblée en forme d’étoile. Mail Saint-Roch, ville de Québec.
Walk of Fame Rimouski
2004. Voir la Page détaillée du projet
Glace.
Projet de résidence Les améliorations locatives au centre d’artistes Caravansérail. Photo: Steve Leroux, Julie Picard et Julie Lévesque.
L’ananas
2004. Papier publicitaire et magazine de golf récupérés, colle blanche liquide biodégradable sans solvants. Structure alvéolée déployable-repliable. Photos : Julie Picard.
Pelures d’oignons
2003. Sacs de papier Kraft, oignon.
Projet de résidence La salle d’essayage, Centre d’artistes GRAVE, Victoriaville. Photos : Julie Picard
Les couvains
1999. Ruban à masquer.
Intervention brève dans le plafond de l’École des Arts visuels de l’Université Laval, Québec. Photos : Branka Kopecki.
